vendredi 3 février 2012

Las Mujeres Desesperadas

 Que frìo ! La vague de froid arrivant de Sibérie vient se jeter dans les rues madrilènes. Tout le monde tousse à la maison, Marìa n'a pas supporté le changement de température et n'a pas pu aller à l'école aujourd'hui. Me voila partie à faire des churros et des glaces (c'est de saison ! ) en pâte à modeler, hihihi c'est rigolo.

Nous avons aussi regardé la télé, le programme typique des enfants malades. J'ai regardé Desperate Housewives en espagnol ! C'est tellement drôle, déjà le doublage français me fait rire, alors imaginez en espagnol ! Plus je regardais cette série plus je me disais que Patricia était une Desperate Housewife un assez beau mélange de  :

- Bree : on doit tout protéger, la table est protégée par une nappe, la nappe par des sets de table, les sets de table par des assiettes par dessus lesquelles les enfants posent leur vraie assiette - bon pas nous parce qu'on est grande et propre - même le pain a son assiette,

- Lynett : elle est dépassée par ses enfants et par sa vie palpitante de femme au foyer tout court,

- Suzanne : elle est un peu nulle en cuisine, quand elle a su que je cuisinais (j'ai fait une tarte tatin et des crèpes en moins d'une semaine) elle a absolument voulu faire un gâteau, manque de pot elle a oublié de mettre les œufs et l'a fait cramer. Ceci dit, une fois la première couche partie, il était très bon,

- Gaby : c'est une belle femme, qui aime la mode, fait du yoga (elle est prof de yoga).

J'ai atterrit dans une série, dans la famille d'une femme au foyer désespérée. Peut être pas désespérée mais sur les nerfs. Il y a de quoi, les  temps  sont durs pour les mères célibataires même si on possède deux œufs de Fabergé ! 

J'ai aussi découvert La hora de José Mota, la série préférée de Fernando et Marìa. C'est une série avec plein de jeux de mots. Je n'ai rien compris mais je ne perds pas espoir.

Pardon ce n'est pas ma photo.

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